Dylan Mayfield « Inhabitant, along the river »
+Liens recherchés: Autres:
| ‣ envoyé 27/11/2020, 03:55 Voilà une autre journée qui s’annonçait comme les autres. Depuis quelques mois déjà, tu étais devenu l’heureuse propriétaire de la librairie de la ville. Avec l’aide de tes parents, tu avais ouvert cette boutique, car tu avais toujours eu une passion pour les livres et cette boutique était en réalité ton cadeau de graduation de l’université. Ils connaissaient ton avis d’ouvrir un jour ta boutique et tu avais tellement travaillé fort pour y arriver, qu’ils ont voulu t’aider à financer ta boutique. Depuis, tu adorais aller travailler, même s’il arrivait souvent que ce soit calme. Aujourd’hui, de plus en plus de monde achetait leurs livres sur le net et n’achetais plus de livres version papier et pourtant sentir le livre entre tes mains, sentir l’odeur parfois pas très bonne du papier. Pour toi c’était le pur bonheur. Comme c’était le week-end, tu ouvrais la boutique à dix heures du matin, mais tu arrivais toujours vers neuf heures trente afin de prendre le temps de faire un petit ménage, ranger quelques livres et une fois que c’est fait, tu ouvres la boutique et tu attends les premiers clients. @Marcus Hunt | |
|
Marcus Hunt « Inhabitant, along the river »
| ‣ envoyé 8/12/2020, 11:22 C'est un samedi, un jour de congés comme les autres. Malgré la fraicheur hivernale, tu décides d'aller courir un peu. Quand tu sors de chez toi, le soleil n'est pas encore levé. Tu fais un détour, tu cours pendant deux heures entières avant de retrouver la civilisation. La musique dans les oreilles, tu es heureux au final de ce cadeau. Tu t'es longtemps demandé à quoi pouvait bien servir les écouteurs sans fils. Maintenant tu comprends mieux. Tu passes par la ville pour tenter de croiser ce regard qui fait battre ton coeur. Quand tu passes devant la librairie, la lumière s'allume en même temps et tu l'aperçois au comptoir. Involontairement tu te stop, elle ouvre le rideau de la porte entrée et tu ne peux détourner les yeux des siens. Elle ouvre la porte, tu déglutis puisque tu es assez mal à l'aise. Tu te mets à genoux, faisant semblant de remettre ton lasset à ta chaussure. Quand tu te lèves enfin, elle est devant toi, souriante, magnifique. De ton côté, tu es transpirant, tu dois sentir mauvais et tu regrettes soudain de n'avoir pas pris de douche avant. "Bonjour." Dis-tu timidement. Tu n'es pas à l'aise avec les femmes et pourtant, tu as vécu dans une fratrie avec un nombre important de filles. Mais cela est bien différent. "Vous avez besoin d'aide ?" Demandes-tu comme-ci tu pouvais faire quelques choses.
| |
|